Logiciel de caisse de magasin : quand le client impose son choix
L'éditeur de logiciel, JLR s'assure de satisfaire ses clients au mieux.
"Mes clients potentiels donnaient la priorité à leur budget dans un premier temps en s'accommodant des quelques limites du système de caisse aux spécificités de leur activité commerciale." |
JLR préconisa le logiciel de caisse TP.net
Nous avions été contactés pour un projet d'équipement des caisses d'une petite surface alimentaire spécialisée qui allait s'ouvrir fin 2011 dans la banlieue sud de Paris.
L'évaluation des besoins du prospect nous conduisit à préconiser à cette époque le logiciel de caisse TP.net de Wincor Nixdorf (nous précisons que nous ne distribuons plus ce logiciel à l'heure actuelle). Ce système avait été conçu à l'origine pour les grandes et moyennes surfaces alimentaires. Pour JLR, la réponse au besoin exprimé devait être cette solution d'équipement de caisse de magasin.
Un devis, pour un montant global de 30 000€ (logiciels, matériels et services), avait été envoyé et un rendez-vous pris pour le commenter.
A la fin de l'entretien, mes interlocuteurs ne contestèrent ni les fonctionnalités, ni la technologie du produit, mais son prix. De toute évidence ils avaient un problème de budget. Ils avouèrent avoir pensé à un investissement de 10 à 15 000€, tout compris pour commencer leur activité.
Le client préfère XLPos
En réalité, ils avaient déjà un progiciel de caisse en tête : XLPos de l'éditeur XLSoft. Ils en avaient eu une démonstration chez un autre fournisseur et le prix évoqué leur convenait.
Les clients potentiels donnaient la priorité à leur budget dans un premier temps en s'accommodant des quelques limites du système de caisse aux spécificités de leur activité commerciale.
Ils préféraient minimiser leur investissement au lancement de leur magasin, quitte à remettre en cause leur choix initial deux ou trois ans plus tard. Et pour tout dire, la démarche était des plus raisonnables : consolider d'abord son activité avant de se lancer dans des investissements plus sérieux. Rien à redire à cela, le client a toujours raison n'est-ce pas ?